En dehors de toute problématique politique, telle est la politique déontologique de l’avocat, la notion d’immigration professionnelle en France, en droit des étrangers, regroupe de nombreux thèmes.

Mais si immigrer en France peut s’avérer devenir très procédural, ou s’improviser dans l’urgence, c’est aussi un projet que l’on peut préparer.

Les phénomènes de migration professionnelle répondent à une demande et une offre de travail.

La France a besoin de compétences que ses nationaux ne maîtrisent pas forcément, mais le pléthore de contraintes administratives, font de l’Etat français un régulateur de ce marché du travail, par définition libre, mais contrôlé car touchant à l’immigration.

Le taux de chômage en France augmentant sans cesse, la France adapte sa politique migratoire à une conjoncture économique peu favorable, par conséquent, les conditions d’introduction des salariés étrangers sont devenues nécessairement plus contraignantes.

La politique migratoire s’attache à favoriser l’immigration professionnelle en conjuguant la sauvegarde du marché de l’emploi et la priorité à accorder aux demandeurs d’emploi.

Cela étant dit, la porte de l’immigration professionnelle n’est pas fermée, le tout étant de bien la préparer.

 En effet, immigrer en France ne s’improvise pas, et la situation tout aussi professionnelle que personnelle de l’étranger doit satisfaire les critères d’immigration fixés par les textes et la pratique administrative.

L’immigration professionnelle concerne à la fois les particuliers (salariés, artistes, scientifiques, stagiaires etc.), les entrepreneurs (commerçants, professions libérales, créateurs et repreneurs d’entreprise) et les entreprises (introductions de salariés, mobilité intra-groupes, prestations de services internationaux).